UN VOYAGE DANS MES LIVRES

Cet écrivain est né le 11 octobre 1885 à Bordeaux.

Il est mort le 1^er septembre 1970 à Paris.

Lauréat du  Grand prix du roman de l’Académie française en 1926.

Il est élu membre de l’Académie française en 1933.

Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1952.

• 1913 : L'Enfant chargé de chaînes

• 1914 : La Robe prétexte

• 1920 : La Chair et le Sang

• 1921 : Préséances

• 1921 : Dialogue d'un soir d'hiver (nouvelle)

• 1922 : Le Baiser au lépreux

• 1923 : Le Fleuve de feu

• 1923 : Genitrix

• 1924 : Le Mal

• 1925 : Le Désert de l'amour   (Grand prix du roman de l'Académie française)

• 1927 : Thérèse Desqueyroux

• 1928 : Destins

• 1929 : Trois récits : Coups de couteau, Un homme de lettres, Le Démon de la connaissance

• 1930 : Ce qui était perdu

• 1932 : Le Nœud de vipères

• 1933 : Le Drôle (conte pour enfant)

• 1933 : Le Mystère Frontenac

• 1935 : La Fin de la nuit

• 1936 : Les Anges noirs

• 1938 : Plongées 

• 1939 : Les Chemins de la mer

• 1941 : La Pharisienne

• 1944 : Les Arbres et les Pierres

• 1951 : Le Sagouin

• 1952 : Galigaï

• 1954 : L'Agneau

• 1969 : Un adolescent d'autrefois

• 1972 : Maltaverne (posthume)

François MAURIAC a des détracteurs comme des admirateurs même après sa mort.

Pour tenter de cerner la personnalité de cet homme de lettres, il faut se plonger dans une partie de son œuvre.

Pendant de nombreuses années, j’ai relu quelques-uns de ses romans.

Cet écrivain un peu particulier risque de dérouter les lecteurs de ce début de XXIe siècle.

Peut-être est-ce cela qui m’incite à partager avec eux mes redécouvertes.

Il fut le témoin d’une époque révolue que le cinéma a su en son temps présenter sur les écrans.

« Les anges noirs » en 1937 — « Thérèse Desqueyroux » en 1962 et en 2012 — « Le désert de l’amour en 1969 et en 2012 » — « Le sagouin en 1972 »

et, etc.

Je rappelle et ne cesserai jamais de rappeler que pour savoir où l’on va, il faut toujours savoir d’où l’on vient.

N’en déplaise à ceux qui trouvent l’époque qu’il décrit surannée.

La modernité n’est pas toujours un signe d’intelligence.

Les temps ont changé. Comparer sans se moquer permet de parfaire notre  sens critique.

Cet avis n'engage que moi.